La Monarchie française
Les informations proviennent du site officiel de l'UCLF
La Monarchie française est absolue de droit divin.
« Absolue » signifie pleine souveraineté. Seule la pleine indépendance du Monarque lui permet de protéger naturellement son Royaume contre les intérêts privés ou étrangers qui menacent le bien commun (aujourd’hui les lobbys financiers et idéologiques). Un Voltaire le reconnaît :
"Un roi absolu, quand il n’est pas un monstre, ne peut vouloir que la grandeur et la prospérité de son État, parce qu’elle est la sienne propre, parce que tout père de famille veut le bien de sa maison. Il peut se tromper sur le choix des moyens, mais il n’est pas dans la nature qu’il veuille le mal de son royaume".
En revanche, « absolue » ne signifie pas illimitée. L’autorité du roi est arrêtée juridiquement par les Lois fondamentales du Royaume et elle est bornée pratiquement par le principe de subsidiarité. En effet, le Roi règne sur ses sujets par délégation de son autorité à de multiples corps intermédiaires — cours de justice (parlements), États de provinces, villes, corps de métier… Ces corps sont protégés par des privilèges (des lois particulières), et opposent autant d’inertie à d’éventuelles décisions arbitraires.
« Monarchie de droit divin » signifie que le Roi reconnaît institutionnellement que son autorité vient de Dieu. S’il règne conformément à la feuille de route du Créateur (loi naturelle et loi révélée), il obtient de ses peuples non seulement obéissance, mais l'amour.
Les trois degrés de la légitimité
Le Cercle Légitimiste Hyacinthe RIGAUD se réclame des trois degrés de légitimité
Le premier degré de légitimité
Est légitime le pouvoir qui reconnaît l’existence de la loi naturelle, et garantit à ses subordonnés le droit naturel de vivre selon cette loi en édictant des lois positives qui lui sont conformes.
Un tel pouvoir est appelé autorité.
Le premier degré de légitimité est acceptable par les athées qui reconnaissent l’existence de la loi naturelle, autrement-dit, qui reconnaissent une écologie de l’être humain comprenant le respect de ses lois physiologiques, comportementales (morales), ainsi qu’un environnement qui lui est propre.
Le deuxième degré de légitimité
Il n’y a point de loi sans législateur, aussi la légitimité de l’autorité s’accroît quand elle reconnaît l’origine divine de la loi naturelle (voulue par l’Auteur de notre nature) et garantit à ses subordonnés le droit divin de vivre selon cette loi.
Le deuxième degré de légitimité est donc acceptable par les croyants de la plupart des religions, qui reconnaissent Dieu (ou la divinité) comme Législateur suprême.
Le troisième degré de légitimité
La légitimité de l’autorité s’accroît encore quand elle se donne pour modèle le Verbe de Dieu, Dieu unique fait homme, le Christ Roi des rois, aimant et serviteur de tous jusqu’au sacrifice.
Le troisième degré de légitimité est donc acceptable par les croyants de la plupart des religions chrétiennes.
Titre 6
Louis XX, héritier du trône de France
« L’histoire, heureusement, comme une bonne fée veillant sur la France, est là pour nous faire souvenir qu’il n’y a pas à désespérer. Les situations les plus catastrophiques trouvent toujours un dénouement. Le sursaut vient chaque fois d’un retour aux sources, en cherchant à retrouver les fondements de ce qui fait notre cher et vieux pays plus que millénaire. »
Louis XX, héritier légitime au trône de France
Vœux aux Français de Monseigneur le Prince Louis de Bourbon à l’occasion de la Fête des Rois